Tu me transportes et m'emmènes
Dans une obscurité abyssale,
Où rôdent le noir et la dévaine
Joués sur ce poison... ce mal...
Je vois se dessiner les cernes
A côté de ma boîte de mouchoirs,
Les déshabitudes sombres et ternes,
Du dégoût, du reste et du hasard.
Minuit passé. Encore un jour de plus encore
Où je me cache au plus noir de ma maison.
Affaibli, je me sens de moins en moins Homme,
Sous une lâcheté qui s'acharne à même mon nom.
Quelle est cette chose aux mille vertus,
Qui me couvre de cette bulle, cette lésion ?
Alors qui es-tu ? Comment t'appelles-tu ?
Elle souffle et me dit : je suis la dépression...
Dans une obscurité abyssale,
Où rôdent le noir et la dévaine
Joués sur ce poison... ce mal...
Je vois se dessiner les cernes
A côté de ma boîte de mouchoirs,
Les déshabitudes sombres et ternes,
Du dégoût, du reste et du hasard.
Minuit passé. Encore un jour de plus encore
Où je me cache au plus noir de ma maison.
Affaibli, je me sens de moins en moins Homme,
Sous une lâcheté qui s'acharne à même mon nom.
Quelle est cette chose aux mille vertus,
Qui me couvre de cette bulle, cette lésion ?
Alors qui es-tu ? Comment t'appelles-tu ?
Elle souffle et me dit : je suis la dépression...