Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

La voix d'une femme au verso d'un éventail !!

lilasys

Maître Poète
#1
La voix d'une femme au verso d'un éventail !!

Le satin qu'elle dénude de ses mots
Affriande à l'égal d'un baiser léger
Palpite de même qu'une veine de poignet
Sur ce vélin marqué de son sceau

Des notes égarées en morceaux
Au joyeux temps d'un pays éloigné
Que l'esprit s'obstine à convoiter
La divine extase d'un chant d'oiseau

Elle drape pudiquement son visage
L'imagination d'une fleur d'organdi
Exquis galbes et belles courbes inouïes
Bouillonnent et font bien des ravages

Le temps s’infuse dans le tableau sans âge
Cette toile déserte de pétales de vie
Où les brûlants baiser désespèrent d'envie
Cette gorge où l'écluse est sans amarrage

Sur ces flots où miroite une dentelle d'écume
Les frissons de la voile jouent du violon
Il console de sa main berçant les vagues d'émotions
Dans ce radiant vermeil fait d'amertume

La voix de cet ange noir fut frivole
Au prélude du soir son corps se souvient
Ce mirage dont la fourberie était l'écrin
Une artiste sous l'éventail a joué le rôle......


LILASYS

kitty-meijering-lost-in-motion.jpg
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#4
La voie de l’homme, illico, d'un amant de taille !

Le matin je déballe tes maux,
Réduit l’intervalle du brasier légué,
Crépite avant même la peine témoignée,
Sur et par ce chemin remarqué de ton sot.

Pianote et garde en monceaux,
Au très vieux l’instant dépoli angoissé,
Que les prix se destinent à s’envoler,
Et devine l’ex- taxe du champ d'oripeau.

Qu’elle sache publiquement, j’envisage,
L'image d’une nation sans peur, alors grandi,
Est-ce qui palpes les belles fourbes la nuit,
Bourdonnement de fond, rien en paysage.

Les instants se peignent sur la table aux étages,
Ce voile des vertes aux sépales sans vice,
Où hurlant d’un brasier emboîtèrent sans vis,
Ce George qui écluse, est sans bavardage.

Comme un défaut qui débite une sempiternelle rancune,
A foison de la toile se déjoue tel un poltron,
Ma console demain gercera les dagues de tentation,
En irradiant les merveilles de dame nature.

La voie me dérange, voir m’affole,
Au déluge du jour, ton décor me parvient,
Ce miracle dont la courbe rit et tait la crainte,
Le dard triste de l’amant de taille t’a déjoué, le drôle !
 
#5
La voix d'une femme au verso d'un éventail !!

Le satin qu'elle dénude de ses mots
Affriande à l'égal d'un baiser léger
Palpite de même qu'une veine de poignet
Sur ce vélin marqué de son sceau


Des notes égarées en morceaux
Au joyeux temps d'un pays éloigné
Que l'esprit s'obstine à convoiter
La divine extase d'un chant d'oiseau


Elle drape pudiquement son visage
L'imagination d'une fleur d'organdi
Exquis galbes et belles courbes inouïes
Bouillonnent et font bien des ravages


Le temps s’infuse dans le tableau sans âge
Cette toile déserte de pétales de vie
Où les brûlants baiser désespèrent d'envie
Cette gorge où l'écluse est sans amarrage


Sur ces flots où miroite une dentelle d'écume
Les frissons de la voile jouent du violon
Il console de sa main berçant les vagues d'émotions
Dans ce radiant vermeil fait d'amertume


La voix de cet ange noir fut frivole
Au prélude du soir son corps se souvient
Ce mirage dont la fourberie était l'écrin
Une artiste sous l'éventail a joué le rôle......


LILASYS

Afficher la pièce jointe 25561
C'est vraiment très joli comme poème:
"
Sur ce vélin marqué de son sceau
Des notes égarées en morceaux"
c charmant j'adore...
 

lilasys

Maître Poète
#7
La voie de l’homme, illico, d'un amant de taille !

Le matin je déballe tes maux,
Réduit l’intervalle du brasier légué,
Crépite avant même la peine témoignée,
Sur et par ce chemin remarqué de ton sot.


Pianote et garde en monceaux,
Au très vieux l’instant dépoli angoissé,
Que les prix se destinent à s’envoler,
Et devine l’ex- taxe du champ d'oripeau.


Qu’elle sache publiquement, j’envisage,
L'image d’une nation sans peur, alors grandi,
Est-ce qui palpes les belles fourbes la nuit,
Bourdonnement de fond, rien en paysage.


Les instants se peignent sur la table aux étages,
Ce voile des vertes aux sépales sans vice,
Où hurlant d’un brasier emboîtèrent sans vis,
Ce George qui écluse, est sans bavardage.


Comme un défaut qui débite une sempiternelle rancune,
A foison de la toile se déjoue tel un poltron,
Ma console demain gercera les dagues de tentation,
En irradiant les merveilles de dame nature.


La voie me dérange, voir m’affole,
Au déluge du jour, ton décor me parvient,
Ce miracle dont la courbe rit et tait la crainte,
Le dard triste de l’amant de taille t’a déjoué, le drôle !
Merci mon luron ta présence sur mes écrits est une grande récompense, c'est sans doute la raison de poursuivre sur ce terrain
Bisous